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Archives for Astuces & trucs

Toutes les bonnes raisons de pailler le potager !

Paillage du potager…pourquoi ?

Il y a pleins de bonnes raisons de pailler le potager. Tout le monde connaît le paillage contre les mauvaises herbes. Et c’est bien vrai ! Au jardin en général, c’est un « plus » extraordinaire, un gain de temps et d’énergie.

Protéger la biodiversité

La Nature ne laisse jamais un sol nu. Elle s’empresse de le couvrir avec des « mauvaises herbes » pour le protéger. Cette protection est essentielle pour protéger la biodiversité du sol. Si le sol dessèche ou se colmate ou se détrempe, la biodiversité du sol va s’en trouver modifiée ou perturbée. Et si la biodiversité disparaît ou s’enfonce plus profondément, alors le sol perd alors une partie ou beaucoup de son aération ,et de sa fertilité.

Les mauvaise herbes et l’eau.

La lutte contre les mauvaises herbes est l’avantage le plus connu des amateurs de jardin. Cependant, depuis l’évolution climatique, et les périodes importantes de sécheresse, l’eau est devenu aussi une priorité pour beaucoup…et c’est magnifique. Le paillage va protéger le sol des rayons du soleil et/ou de la chaleur. La différence de consommation d’eau est vraiment considérable, et permet de faire des économies d’eau, mais aussi de temps et d’énergie !

Connais tu les autres avantages ? 

Le paillage va aussi aider l’eau à percoler dans le sol, sans le marteler ! Car la pluie peut aussi damer le sol nu. Vous avez tous déjà vu un potager transformé en dalle de béton après un gros orage. Et bien le paillage empêche le pluie de marteler le sol…et l’eau va percoler délicatement pour renourrir le sol !

Le vent !

Le vent, le gel, les courants d’air contribuent à dessécher le sol et à l’éroder. Le paillage garde au sol toute sa souplesse, et les plantes peuvent s’y installer avec bonheur.

Alors ? Convaincu(e)😉

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Les semis de tomates au potager

Cette année, je sème des tomates.

Tant que vous n’aurez pas goûté les tomates de votre potager ( ou de celui du gentil voisin qui vous offre de temps et en temps quelques légumes ,-)-) , vous ne connaîtrez pas le vrai goût d’une tomate !!! Une tomate mûrie au soleil en pleine terre ou dans la serre est charnue, juteuse, sucrée et pleine de goût…que vous ne retrouverez pas dans les tomates de grandes surfaces cultivées de façon industrielle. Farineuses ou dures comme de la chique (!), je n’appelle pas « ça » une tomate !

 C’est pas très compliqué!

Contrairement, à ce que beaucoup pensent, semer des tomates n’est pas très compliquédes graines, du terreau pour semis, des petits pots pour repiquer, et une barquette pour le semis. Il vous faudra aussi une fenêtre bien éclairée, et tempérée. Pas besoin d’une serre pour réussir un semis de tomates ! Il suffit d’utiliser de l’eau chaude dans le brumisateur,-)

Quand faut-il semer ?

De la graine à la plante, il faut compter environ 2 mois. Faites donc le calcul ! Si vous plantez vos tomates en pleine terre..et donc pas avant le 15 mai chez nous…vous pourrez commencer vos semis vers le 15 mars. Si vous plantez vos tomates en serre non chauffée, ce ne sera pas avant le 1er mai ( suivant météo) . Méfiez vous des gelées tardives qui chaque année, font de multiples dégâts chez les jardiniers pressés !

Comment procéder ?

Remplissez une caissette de terreau pour semis, et semez vos graines en prenant la peine de les espacer de quelques centimètres. Recouvrez avec un tout petit peu de terreau (3mm environ ),car la graine est petite, et ne doit pas être enfouie profondément .Tassez légèrement le terreau avec votre main ou une petite planchette. Utilisez un brumisateur pour humidifier le terreau en profondeur. Utilisez de l’eau chaude …et vous allez découvrir une germination ultra rapide !

Le repiquage..

Les premières « feuilles » qui sortent, sont en réalité l’enveloppe du bourgeon. Vous devez attendre que la plante aie 2  « vraies » feuilles de tomates pour faire le repiquage.  Soulevez délicatement les jeunes plantules avec un crayon par exemple. Repiquez les délicatement dans un petit pot de récupération, en mettant les vraies feuilles au niveau du sol. Arrosez avec le brumisateur. Ensuite, maintenez le sol humide mais pas trempé.

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La pyrale du buis

Tous droits de reproduction interdits (c) Jardiflor sprl.

La pyrale, c’est quoi ?

La pyrale, c’est en fait un petit papillon de nuit.  Il n’est pas très grand, de couleur beige avec le bord des ailes brun. Découvrez le sur les photos ci après. En général, vous ne le verrez pas, sauf lorsque l’invasion devient vraiment « visible ». Mais, au début, il est difficilement détectable. Ce papillon va pondre les œufs à l’intérieur du buis. Et ce sont les œufs quand ils éclosent, qui deviennent ces redoutables chenilles voraces. Les chenilles s’attaquent au feuillage du buis avec un appétit féroce qui détruit rapidement le feuillage du buis.  En automne, quand les températures baissent, les larves se glissent dans le sol où elles vont hiverner jusqu’au printemps suivant.

Ne pas confondre avec la maladie.

Attention! Il faut dès le départ poser un bon diagnostic, car les chenilles ne sont pas facilement visibles ! Si il s’agit de la pyrale, les feuilles sont séchées ou pas, brunes ou pas….mais surtout mangées, remplies de trous !  Ensuite, vous allez découvrir des toiles ou des cocons à l’intérieur du buis. Vous trouverez aussi dans vos buis des excréments sous forme de micro billes vertes (parfois blanches ou noires).

La maladie du buis présente, quant à elle, uniquement des feuilles brunes et séchées mais intactes ! Pas de toiles ni de cocons ni d’excréments ! Sachez que la maladie du buis se traite très facilement avec 1 traitement par an avec un produit spécifique contre la Cylindrocladium buxicola ou Volutella buxi.

Vérifiez attentivement , car bien souvent les buis affaiblis par les chenilles, sont aussi attaqués par la maladie.

Les traitements

Si l‘invasion est déjà très forte et vos buis fort attaqués, il faut de suite traiter les chenilles. Vous pouvez utiliser les produits biologiques type Conserve ou Bacillus thuringiensis qui s’attaquent uniquement aux larves et chenilles. Sachez cependant que ces produits tueront également les larves des insectes utiles 😞. Il existe également des produits plus « forts », insecticides plus puissants, mais qui vont tuer TOUS les insectes. C’est votre choix ! Dans tous les cas, pulvérisez soigneusement l’intérieur de vos buis , en entrant la buse du pulvérisateur à l’intérieur.

L’homéopathie apporte plusieurs solutions contre la pyrale du buis qui fonctionnent vraiment bien. Je les ai testées avec succès depuis plusieurs années en pépinière et au potager. J‘utilise d’ailleurs l’homéopathie dans mon module n°1 La lutte biologique contre les ravageurs.

La première solution est l’utilisation de PSORINUM 30 K. Ces granules sont disponibles en pharmacie très facilement. La substance va modifier l’environnement du buis particulièrement dans la terre. Le buis va absorber la substance ,  éloigner les chenilles et achever d’éliminer toutes celles que vous n’avez pas vue dans le buis .C’est donc en  arrosage principalement que vous devrez utiliser le produit.  Il faut compter environ 10 litres par mètre linéaire. Je sais que ce n’est pas drôle de porter tous ces arrosoirs, mais cela en vaut la peine ! Si vous avez beaucoup de mètres de haies, peut être pouvez vous trouver une petite citerne sur roue ( bien nettoyée et sans produit herbicide dedans ! ).  La recette : 1 granule par litre d’eau. Faire fondre par ex 10 granules (arrosoir de 10litres) dans une petite bouteille d’eau. Quand les granules sont fondues, dynamiser la préparation en secouant la petite bouteille (fermée !) pendant 1 minute. Ensuite, verser le contenu de la petite bouteille dans votre arrosoir , et arroser les buis . Ne sautez pas l’étape de la dynamisation, même si cela vous paraît bizarre : c’est important ! C’est un traitement à faire en général une fois par an , et c’est suffisant. Si vous avez une invasion très très forte, vous pourrez peut être arroser une deuxième fois 6 semaines plus tard.  Ne multipliez pas les traitements! C’est inutile et vous risquez de provoquer un effet inverse typique de l’homéopathie.

Une deuxième solution apportée par l’homéopathie, c’est le produit CYDALIMA PERSPECTALIS.  Dans ce cas , la substance travaille par iso thérapie, c’est à dire en utilisant la substance même de la chenille. Avec ce produit, les chenilles sont détruites et ne reviennent pas sur vos buis .Pas disponible en Belgique, vous le trouverez ici chez NARAYANA soit en liquide  soit en granules. Selon le produit, vous suivrez leurs instructions. En liquide D6, le mode d’emploi est de 5ml pour 10l en pulvérisation ( bien faire dans l’intérieur des buis). En cas de forte invasion, refaire une pulvérisation après 5 jours. Puis stop ! A utiliser en arrosage ou en pulvérisation .

Quelques précautions !

1.- Pulvérisez soigneusement l’intérieur des buis

 2.- Homéopathie ou pas, lavez vous les mains, ne respirez pas les produits et rincez vos pulvérisateurs

3.- Respectez les dosages et les fréquences

Les pièges à phéromones

Les pièges à phéromones sont excellents. Mais n’oubliez pas de vérifier leur zone d’attraction. En fonction de leur puissance, ils auront une zone maximale pour attirer les papillons. Ainsi, si vous avez une grande longueur de haie, vous devrez impérativement utiliser plusieurs pièges.  Malheureusement, en cas de fortes invasions et/ou d’une grande surface de buis, et malgré leur efficacité réelle, ils ne sont pas toujours suffisants !

Pour ma part, je vous conseille d’utiliser les pièges à phéromones en tout début de saison pour détecter et stopper une éventuelle première invasion. Leur efficacité est alors réelle, car ils  vont capturer les tout premiers papillons avant que ne débutent les pontes ! Et surtout quand vous ne voyez encore rien !

Mais malheureusement, lorsque vous avez une grosse invasion, ils ne sont en général pas suffisants pour endiguer les ravages. Alors qu’en détection préventive en tout début de saison (fin mars/avril suivant la météo), ils vont détecter les premiers papillons, les piéger, et stopper la première génération de chenilles. Il faudra impérativement y faire appel l’an prochain, car il y aura certainement des larves qui auront hiverné dans le sol !

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L’homéopathie au jardin.

Beaucoup d’entre vous sont surpris par l’utilisation de l’homéopathie. Or c’est quelque chose que j’emploie depuis de longues années. 1.- Ca marche ! 2.- Ce n’est pas cher ! 3.- C’est complètement respectueux de la biodiversité ( oiseaux et insectes). J’ai commencé  à utiliser l’homéopathie, il y longtemps, dans les serres de culture; car l’utilisation des produits « classiques  » créaient de plus en plus de résistances….. et puis ce n’était plus compatible avec mon idée du respect de la biodiversité et de la Nature. Les résultats ont été surprenants! Même si ce n’était pas toujours  parfait, j’ai vu une réelle différence sur le long terme ; car j’ai retrouvé au jardin, au potager, en pépinière et dans les serres, une biodiversité avec des insectes utiles qui sont des alliés précieux. J’utilise donc l’homéopathie ( en autres)  aussi au potager que ce soit dans la lutte contre les ravageurs, ou dans la prévention et la lutte contre les maladies fongiques dans la culture des tomates par exemple. Quoiqu’il en soit, dans votre utilisation de l’homéopathie, soyez précis ( ne mettez pas « un peu plus on ne sait jamais »!)….respectez les dosages et les fréquences ( trop, c’est trop !)…..lavez vos mains, rincez vos pulvérisateurs.

 

🙈Marre de ne pas avoir de belles récoltes ?

🙈Mes carottes et mes haricots ne germent pas !

🙈J’ai plein de bestioles qui mangent mes légumes !

Découvre ici mon accompagnement « Mon Année au Potager » ! L’objectif ? Avoir de belles récoltes de légumes et prendre du plaisir dans ton potager! Je te propose mon suivi personnalisé avec réponses à tes questions tous les lundi dans le groupe des Passionnés du Potager ! Tous les deux mois, je te propose un thème de saison, que tu découvres par internet avec ma vidéo conférence. rendre soin de sa santé en cultivant ses légumes biologiques ,et augmenter son autonomie en légumes. Une fois par mois, je te propose un thème de saison.  Par internet ? Oui! Car grâce aux photos et aux vidéos, tu peux visualiser la culture au potager en toutes saisons. Tu reçois aussi 1 carnet de bord + tableaux/annexes + vidéos spéciales. Rejoins nous dans la magnifique aventure des « Passionnés du Potager » !

 

 

 

Découvrez ici mes ateliers d’art floral en présentiels ou par internet : Mon challenge ? Faire de toi une créatrice autonome et pleine de ressources. Mes valeurs ? Utiliser les trésors de la Nature et du jardin ,et réutiliser sa création florale le plus souvent possible et l’adapter aux différentes occasions !

En présentiel, découvre ici les dates des ateliers d’art floral. Mais si tu habites trop loin tu peux profiter de mes ateliers par internet. Pourquoi par internet ? Parce que je ne suis plus limitée par le temps ! Parce que je peux aller au bout de toutes mes explications! Parce que je peux te proposer les vidéos avec les gestes techniques ! Et parce que j’ai aussi la possibilité de te proposer des idées de recyclage pour ta création florale !

Questions/réponses sur la pyrale du buis

Le lien vers les questions/réponses ici
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Les travaux d’hiver dans la serre.

Les travaux d’hiver

Dans la serre, le tunnel ou l’abri à tomates, c’est l’hiver ! Mais dans le jardin, la vie continue...même si tout est plus discret, plus lent, plus souterrain. La serre, le tunnel ou l’abri à tomates sont aussi des parties du potager qu’il convient de soigner en hiver. Mais pour que faire ? C’est ce que nous allons voir !

Faire entrer la lumière.

Quelque chose de simple, auquel on ne pense pas toujours, c’est la lumière ! La serre, le tunnel ou l’abri à tomates ont besoin régulièrement d’un bon nettoyage. Carreaux, plastic ou bâche se salissent avec les intempéries, les poussières, les feuillages…et finissent par tamiser fortement la lumière. C’est le moment de laver les carreaux, la bâche ou le plastic avec de l »eau tiède . Avec éventuellement un peu de savon noir biologique, de l’huile de coude, et une petite brosse, n’hésitez pas à laver et rincer vos serres et tunnels. Evitez les « eaux de javel et produits nettoyants » qui vont ruisseler dans le sol et brûler vos futures plantations.

De l’engrais !

Chaque année pensez à mettre de l’engrais, ou du fumier bien décomposé.  Attention à vos compost qui ne sont pas toujours équilibrés ! Si vous n’êtes pas sûr de la qualité de votre compost , épandez une fine couche sans excès; et complétez avec un engrais ou du fumier. Veillez à ce que toutes les matières organiques aient minimum 1 à 2 ans de compostage.

Pourquoi mettre de l’engrais chaque année ?

Parce que dans la serre, le tunnel ou l’abri à tomates, on cultive des tomates ,des melons, des poivrons, des aubergines….bref,  tous des légumes qui sont très gourmands en nutriments. Donc si vous voulez avoir de belles récoltes chaque année, nourrissez le sol et il vous le rendra !

A-R-R-O-S-E-R !

Et voici le plus important ! En hiver, vous devez ARROSER ! Car dans la serre, le tunnel ou l’abri à tomates, l’eau ne pénètre pas ou peu…et tous cas, pas en surface. Vous allez me dire qu’ avec toutes les pluies hivernales, le sol est bien mouillé en profondeur. Oui, c’est exact ! Mais, la vie organique de votre sol a besoin d’eau pour se développer. Si les 30 cm supérieurs de votre sol sont secs, la vie organique va s’enfoncer plus bas, et vous retrouverez un sol presque « sableux » au printemps ! Chaque année, nous avons des clients qui nous demandent comment faire avec un sol qui est comme du sable dans la serre.

Or vos cultures ont besoin aussi d’un sol vivant, qui va leur fournir des nutriments faciles à assimiler, car ils ont été « digérés » par le sol. L’absorption par les légumes est alors beaucoup facile et efficace.

Si il neige, n’hésitez pas à stocker la neige dans votre serre ou votre tunnel. Elle va percoler lentement et humidier le sol magnifiquement bien .

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Que faire avec les feuilles mortes ?

Les feuilles mortes, ça sert à quoi ,

Fini le temps où l’on allumait des grands feux avec les feuilles mortes ! Vous n’imaginez pas tout ce qu’une feuille dite morte peut apporter au jardin. Pensez aux sous bois…là où les feuilles tapissent le sol. Le sol est plein d’humus, gorgé de matières organiques qui ,en se décomposant, nourrissent à nouveau les arbres. Le cycle parfait de la Nature  !

Est ce que l’on peut les laisser par terre  ?

Ca c’est une question de jardinier paresseux 🤣! OUI ! On peut les laisser par terre dans les massifs, au potager, ou dans les sous bois. Cependant , n’oubliez pas de dégager les plantes qui seraient recouvertes complètement par les feuilles ( ça arrive parfois !). Car les plantes ont besoin d’air et surtout de lumière pour vivre !

MAIS il y a quand même quelques exceptions !

1.- les chemins, les graviers et les pavés

Je vous conseille de ne pas  laisser les feuilles sur les chemins en graviers ou sur les pavés. Avec la pluie, les feuilles seront pire qu’un verglas blanc…et vous risquez une belle culbute !

2.- les pelouses

Les feuilles mortes fonctionnent aussi comme un paillage. Si vous couvrez les graminées de la pelouse, elles ne pourront plus synthétiser la chlorophylle. Au début, elles se contenteront de jaunir puis de blanchir. Mais si vous laissez la pelouse couverte de feuilles pendant tout l’hiver, vous risquez bien de retrouver de grandes plaques de terre au printemps. Les graminées qui forment le tapis vert de la pelouse seront étouffées par le paillage des feuilles mortes.

Que faire avec les feuilles mortes ?

  1. Au compost  = Une utilisation facile pour les feuilles mortes est de les déposer sur le compost. Pour bien réussir votre compost, n’oubliez pas d’alterner des couches de vert ( tontes herbes), des couches de matières organiques ( déchets ménagers sauf viande et graisse pour éviter les rats), et des couches de branchages . Les branches, c‘est la matière que l’on oublie souvent et qui malheureusement est essentielle au bon fonctionnement du compost. Les branchages permettent principalement l’aération, et attirent aussi des insectes utiles à la décomposition des différentes matières.

 

        2.-au potager = Au potager, les feuilles mortes peuvent servir de paillage pendant l’hiver, et protéger le sol contre les intempéries ( le damage du sol par la pluie) et contre le lessivage des matières organiques par les pluies. Le              paillage va aussi protéger le sol des grands froids. Mais vous pouvez aussi utiliser les feuilles mortes pour pailler les légumes d’hiver : carottes, navets et betteraves seront protégées du gel par cette couche bien pratique. Les                      poireaux aussi aiment cette petite couche de protection. En plus, le sol ainsi protégé va se durcir beaucoup moins vite, et vos récoltes seront facilitées pendant tout l’hiver ! 

Un petit truc avec la dernière tonte d’herbe

Pour les jardiniers paresseux, un petit truc c’est de ramasser les feuilles mortes en  faisant la dernière tonte du jardin.  L’idéal, c’est de passer entre les gouttes et faire cette opération par temps sec !Les feuilles et les tontes d’herbes sont broyées pour faire un mélange génial. L‘herbe apporte de l’azote rapide et se décompose rapidement; tandis que les feuilles mortes apportent de la matière carbonée qui se décompose moins vite, mais qui participe à l’amélioration de la structure du sol.

Petites précautions !

Ne jamais utiliser les feuilles du noyer qui contiennent de la juglandine ( substance qui inhibe la croissance des végétaux) ni les aiguilles des conifères ( beaucoup trop acides….même pour les rhododendrons! ).

Ne pas oublier de dégager les plantes qui seraient complètement recouvertes par les feuilles.  Car les plantes ont besoin de lumière pour vivre. Sans lumière, pas de chlorophylle et pas de vie ! .Les plantes vivaces ou les bulbes qui entrent en dormance pendant l’hiver ne craignent rien, car ils reperceront comme d’habitude au printemps à travers un paillage raisonnable ( max 5 à 6 cm suivant le type de paillage)

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Minute ! Création …Vintage et romantique

Minute, création..

Vous avez certainement des petits pots de récupération dans vos armoires ou de jolis verres !!!! A vous de jouer …

J’ai besoin..

de 2 ou 3 pots de récupération ou  de jolis verres cylindriques (c’est plus facile)

de rubans/ficelles/lainage de récupération

de gypsophile

Comment ? 

Simplement entourer vos pots/verres cylindriques avec vos rubans pour créer un effet vintage, dans les couleurs que vous souhaitez. Coller vos rubans/laines au pistolet à colle. Préparer des petits bouquets bien serrés de gypsophile, tous à la même hauteur. Insérer les bouquets de gypsophile dans les pots et disposer sur la table.

https://youtu.be/CnCnDrZW0qg
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Découvrir les coloquintes

Découvrir les coloquintes

L’automne sans les coloquintes….ce n’est pas l’automne 😉. Dans les jardinières, sur les appuis de fenêtres, devant la maison…elles sont partout. Oranges, vertes ,bicolores, verruqueuses ou pas, elles prennent toutes les couleurs de l’automne. Mais est ce que les coloquintes sont comestibles ? C’est une question que l’on me pose souvent !

Comestible ou pas 🤔?

Les coloquintes ne sont PAS comestibles.….mais le doute est grand parmi les jardiniers. Pourquoi ? Parce que bien souvent les mélanges de coloquintes offerts en jardinerie contiennent de nombreuses variétés…et parfois certaines mini courges comestibles sont mélangées dedans.

2 exemples comestibles

Le mini potiron « Jack be Little » est une courge de la forme d’un mini potiron. Très à la mode pour le moment, il est souvent mélangé dans les coloquintes. Et pourtant…..il est tout à fait comestible, en farci, en gratin..etc. L’autre mini potiron que l’on voit souvent mêlé aux coloquintes, c’est le « Patidou » ! Avec ses jolies rayures blanches et vertes, et son allure de petit potiron bien rebondi, il est aussi comestible.

La conservation

Contrairement aux autres légumes du potager, les courges et les coloquintes aiment une température moins fraîche : entre 13° et 20 ° . S’il fait trop froid, les courges pourrissent irrémédiablement. Alors que dans un endroit sec et tempéré, la courge se conserve bien. Soyez maniaque et choisissez des courges et des coloquintes sans coups, ni défauts, ni taches pour éviter les pourritures.

Avec la queue ou pas ?

Encore une question…faut-il garder le pédoncule de la courge et des coloquintes ? La réponse est OUI ! Manipulez vos coloquintes et vos courges avec soin sans jamais les soulever par la queue. S i le pédoncule se casse, il laisse une cicatrice qui va pourrir , et le courge ne pourra pas se conserver. Stockez aussi vos courges et coloquintes en mettant toujours le pédoncule vers le haut .

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La Tanaisie

La tanaisie

On la trouve dans les fossés, dans les champs. C’est une merveilleuse plante mellifère .La tanaisie est en fleurs du mois de juillet jusqu’aux gelées, qui dit mieux ?. Elle aime le soleil ou la mi-ombre. Facile à vivre, elle peut aussi prendre place au jardin. Si, comme moi, vous coupez chaque année ses inflorescences pour mettre au potager ou dans la maison, elle ne saura pas vous envahir ! N’hésitez pas à en faire sécher avant l’hiver….elle sera d’un précieux secours en début de saison au potager !

Son odeur.

La tanaisie a une odeur très particulière, qui me fait penser au bois de cèdre que l’on utilise parfois comme anti-mites dans les armoires. Et c’est son odeur si particulière qui va nous rendre de précieux services. Cette odeur est insectifuge ( c’est à dire répulsive) pour certains insectes. Mellifère pour certains insectes qu’elle attire , elle est aussi insectifuge pour d’autres.

Plantez des choux

La tanaisie fait merveille dans les choux pour éloigner la redoutable piéride du chou( le petit papillon blanc qui se promène au dessus de votre potager). Ce papillon est attiré par l’odeur des choux et va pondre ses oeufs au revers d’une feuille…de chou. Et vous voilà envahi de chenilles voraces qui ont tôt fait de transformer vos choux en dentelles ( de Bruxelles !) N’hésitez pas à disposer des branches de tanaisie dans vos plants de choux. L’odeur de la tanaisie va éloigner les papillons. J’en parle d’ailleurs beaucoup dans mon module Potager par internet n°1 « La lutte contre les ravageurs « 

Au potager

Utilisée fraiche ou séchée, en branches ou hachée menu, la tanaisie va éloigner la mouche de la carotte si vous en épandez entre les rangs. Elle éloigne aussi les mouchettes des serres ( aleurodes), et également les tenthrèdes, ces fausses chenilles qui font de nombreux dégâts dans les rosiers. Au pieds des choux, en période sèche, vous pouvez utiliser 5% de macération de tanaisie dans votre eau d’arrosage pour éloigner les altises du chou.

Infusion ou décoction

Pour utiliser la tanaisie en pulvérisation ou en arrosage, il faut préparer une infusion ou une décoction.

1.- Infusion

300gr de tanaisie broyée ( ou 30 gr séchée) + 1 litre d’eau ( de pluie de préférence).

Faire bouillir l’eau , et la verser sur la tanaisie, comme pour faire une infusion ou du thé. Laisser reposer 24 h. Pulvériser en utilisant le liquide dilué à 5% (1/2 litre de tanaisie pour 10 litre eau). Ne pas oublier d’ajouter 1 cuillère à soupe de savon noir par litre d’eau pour que la pulvérisation puisse adhérer aux feuilles de choux.

2.- Macération

300gr de tanaisie broyée ( ou 30 gr séchée) + 1 litre d’eau ( de pluie de préférence)

Prendre une bouteille de 1 litre et demi. Mettre la tanaisie et 1 litre d’eau. Laisser macérer 3 ou 4 jours. Ne pas oublier de diluer à 5% avant de pulvériser ou d’arroser. Ne pas oublier d’ajouter 1 cuillère à soupe de savon noir par litre d’eau pour que la pulvérisation puisse adhérer aux feuilles de choux.

Fongicide

La tanaisie est aussi réputée pour avoir des propriétés fongicides ( contre les maladies);  mais, je ne l’ai jamais testé personnellement. Je préfère les huiles essentielles et l’homéopathie dont je vous parle régulièrement dans mes modules Potager par internet. Elle est utilisée en pulvérisation préventive contre le mildiou de la pomme de terre.

Dans la maison..

Elle peut convenir dans le panier du chat ou du chien pour éloigner les puces. A l’extérieur, elle fait merveilles dans les pondoirs des poules pour éloigner les acariens.  Et dans les armoires, elle peut remplacer le bois de cèdre pour chasser les mites de vos armoires.

Et en art floral ?

C’est une fleur que j’aime beaucoup dans les bouquets champêtres. Si vous la coupez en boutons ou en tout cas, pas trop épanouie, elle tient longtemps dans vos montages. Découvrez ici ma petite création minute. avec des fleurs de tanaisie.

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Taupe ou mulot ? La lutte biologique au jardin ou au potager ?

La taupe ou le mulot ,

Si nous voulons lutter biologiquement ( ou même classiquement !) contre la taupe ou le mulot, il est très important de connaître leurs façons respectives de fonctionner. Quand nous  voulons lutter ou cohabiter pacifiquement avec un envahisseur, il faut d’abord le connaître !

Comment fonctionne la taupe.

La taupe est INSECTIVORE...ne l’accusez plus de dévorer les racines de vos arbres fruitiers, ou vos bulbes. Elle n’est pas coupable ! La taupe mange les vers de terre, les vers blancs, les hannetons, les cochenilles, les larves ..etc. Si vous avez une taupe chez vous ,c’est signe que votre terre est fertile et qu’elle présente une belle biodiversité en vers de  terre au moins . La taupe vit quasi tout le temps sous terre, et elle ne met presque pas le nez dehors.; car elle déteste la lumière et les courants d’air.  Cela veut dire que jamais une taupe ne laissera un trou de sortie vers l’extérieur. Seuls les mulots et les campagnols prévoient des « sorties  » pour leurs galeries .

Savez vous que la taupe est presqu’aveugle ? Par contre son odorat et son ouïe sont extrêmement développés. La taupe n’hiverne pas et est active toute l’année, car elle ne sait pas faire de réserve de graisse. Toutes ces caractéristiques vont nous aider à trouver des pistes pour l’éloigner du jardin .

La taupe est aussi un mammifère utile, car elle aère le sol à la manière d’une grelinette biologique…mais, je suis d’accord que dans la pelouse, c’est tout de suite moins sympa ! Car savez vous qu’une seule taupe peut aussi être responsable d’environ 40 taupinières ? Donc si vous avez « une invasion » de taupinières, il se peut qu’un seul ou deux individus soient responsables de l’ensemble des  dégâts.

Et le mulot ?

Sans entrer dans les détails, les mulots sont plus petits et les campagnols plus grands. Particulièrement le campagnol terrestre ( le fameux rat taupier) qui peut mesurer jusqu’à 22 cm; et qui avale jusqu’à son poids de racines par jour ! Tous ces mammifères sont des HERBIVORES VORACES. Ils s’attaquent aux légumes du potager, aux racines des jeunes arbres ou des jeunes haies, aux bulbes, aux fruits, aux plantes…rien ne les arrête ! Le mulot et le campagnol vivent sous terre mais aussi au dessus de la terre. Ils ont aussi un odorat puissant, et une bonne ouïe. Comme ils vivent aussi sur la terre, ils laissent des trous de sorties ,éloignés des taupinières.

Et les taupinières !

Ah ! Les taupinières ! Tous font des taupinières, car la terre des galeries doit bien être évacuée quelque part. Sachez que la terre de toutes ces taupinières, si vous voulez la récupérer, est excellente pour préparer les semis, car elle très légère et bien tamisée.

Les taupinières de l’un de l’autre sont un peu différentes, mais c’est un peu plus subtil. Par contre, si vous ouvrez une taupinière, et si vous découvrez un conduit qui descend à la verticale, (avant de se positionner à l’horizontale sous la terre), il s’agit sans aucun doute d’une taupe. Si le conduit part de biais, (avant de se positionner à l’horizontale sous la terre), il s’agit probablement d’un mulot. Attention ! Bien souvent, les taupes arrivent les premières, mais sont parfois chassées de leurs galeries par les mulots qui profitent du travail déjà réalisé. Il n’est donc pas rare d’avoir un « mélange » dans votre jardin. Les galeries des taupes sont plus profondes, car elles dépendent du niveau où les vers se trouvent . Par temps sec, les vers de terre et les limaces s’enfoncent dans le sol, et la taupe aussi. Comme la taupe a horreur de la lumière et des courants d’air, les taupinières ne sont jamais reliées à des trous. Si vous constatez des trous dans votre pelouse même plus loin que les taupinières, vous avez certainement à faire à des mulots/campagnols

Si vous vous enfoncez brutalement dans le sol dans une galerie en surface, il s’agit certainement d’un mulot ou d’un campagnol. Ces rongeurs herbivores restent souvent en surface, là où la nourriture se trouve : bulbes, racines ,légumes…pas besoin de creuser très profond  ( sauf si les mulots colonisent les galeries des taupes !). Comme le mulot/campagnol vit aussi à l’air libre, il laisse des trous dans la pelouse ou dans le potager, même éloignés des taupinières .

Tous ces indices doivent vous permettre de reconnaître mieux votre cible.

Comment lutter ou éloigner les taupes :

1.- la taupe a l’ouïe sensible

La taupe déteste les vibrations. Les vibrations de la tondeuse par exemple. En période de tonte, les taupes se font beaucoup plus discrètes; et c’est à partir de novembre, qu’elles reviennent. Et donc, les ultrasons fonctionnent bien pour éloigner les taupes. Je n’ai jamais testé le système qui propose de retourner une bouteille sur un long bambou…car pour que les vibrations s’enfoncent dans le sol, il faut que le sol ne soit ni compact ni desséché, que le bambou descende au moins à 1 mètre dans le sol, et que le vent souffle dans la bouteille pour provoquer des vibrations. Je trouve que c’est beaucoup de conditions pour le résultat ! A vous de voir !

2.- la taupe a l’odorat très développé

La taupe a un excellent odorat qui lui permet de se nourrir. Elle est donc très sensible aux odeurs. Quelques très bonnes pistes ! La décoction d’ail. Quelques gousses dans une bouteille d’eau, et au bout de 10 jours, l’odeur est …déplaisante ,-). En verser dans les taupinières est déjà efficace. La décoction de sureau est aussi très efficace; ainsi que les poils ou les excréments du chien. Ce sont des odeurs très répulsives pour les taupes.

3.-le piège

Je ne suis pas taupier professionnel ! Je ne peux donc vous donner que des pistes de base. Le piège tunnel est idéal, car la taupe pourra être déménagée pour vivre sa vie un peu plus loin ! Attention ! Comme son odorat est sensible, masquez votre odeur en utilisant de vieux gants de jardin. Vous avez bien compris que la galerie de la taupe part à la verticale sous la taupinière, puis démarre à l’horizontale de part et d’autre de la taupinière. L’important est de repérer la taupinière la plus récente; ensuite de repérer la galerie horizontale A COTE de la taupinière. Pour cela, vous pouvez sonder avec un fer tout autour de la taupinière. Quand le fer s’enfonce un peu et puis rencontre de nouveau une résistance, vous avez un point de départ, et vous laissez le fer en terre comme repère. Maintenant, il vous faut trouver la direction de la galerie en sondant avec un deuxième fer à environ 10 à 15cm du premier. Quand vous avez trouvé les 2 points, vous pouvez enlever la couche d’herbe au dessus (pour pouvoir la remettre après). Ensuite vous creusez pour trouver le morceau de conduit horizontal, et vous y déposez le piège. La taupe dérangée par la lumière et le courant d’air, viendra voir ce qui se passe pour reboucher la galerie endommagée. ¨Parfois, simplement le fait de détruire régulièrement les taupinières va éloigner la taupe qui déteste les courants d’air et la lumière.

4.- les prédateurs naturels

Pas facile ! Car la taupe vit principalement sous la terre. La belette et l’hermine, si vous avez la chance d’en avoir encore, sont deux animaux qui entrent dans les terriers. Mais les rapaces, les chouettes et les chats sont peu efficaces, car la taupe sort très peu de terre.

Lutter contre les mulots…pas facile

1.- les prédateurs

Les mulots et les campagnols suivant la variété vivent aussi au dessus de la terre. Ils sont donc une proie facile pour les rapaces, les chouettes, les chats, les pies, les corbeaux. Pour favoriser l’arrivée de ces prédateurs, n’oubliez pas les haies ,qui par leurs racines profondes, peuvent aussi  limiter l’accès souterrain à votre jardin.

2.- les répulsifs

Les répulsifs que je vous ai proposés pour les taupes fonctionnent très bien ! En plus, c’est hyper facile de verser quelque chose dans les trous ( plus que pour les taupes) . L’ail est très efficace, et les poils/excréments de chien aussi !

3.- les pièges

Pas facile de piéger les mulots ! Son odorat est terrible, et il repère votre odeur sur le piège ou l’appât. Repérez les galeries avec une sonde comme pour les taupes et positionnez le piège tunnel convient pour les mulots, mais pas pour les campagnols qui sont plus gros) de la même façon, éventuellement en appâtant avec un morceau de légumes. Et comme il adore l’odeur du gras ( huile végétale même usée !), vous pouvez arroser un peu l’appât. Cette odeur va attirer le mulot ,et masquer l’odeur humaine.

4.- détruire les galeries

Si les galeries sont en surface ( souvent au potager), n’oubliez pas de détruire les galeries en automne, avec une grelinette. Ils se découragent et vont plus loin.

5.- les pièges à ultra sons

Les mulots/campagnols ont une ouïe redoutable, et sont sensibles aux ultrasons. Attention de bien utiliser la fréquence à laquelle ils sont sensibles.

 

Un piégeur professionnel

Si vous n’en sortez pas et que l’invasion est trop forte, vous pouvez faire appel à un taupier ou piégeur professionnel. Ils sont redoutables pour capturer vos envahisseurs.

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La confiture de tomates vertes

Les dernières tomates vertes

L’automne arrive, et avec la chute des températures, les dernières tomates mûrissent difficilement. Pour les faire mûrir à l’intérieur, vous pouvez les disposer pédoncules vers le bas dans des cageots en bois tapissées de papier journal avec quelques pommes. La production de gaz éthylène par la pomme va accélérer le mûrissement de la tomate.

Une autre méthode consiste à emballer chaque tomate individuellement dans du papier journal.

Découvrez ici tous les trucs pour faire mûrir les dernières tomates vertes.

Et si vous avez envie de cuisiner, vous pouvez aussi préparer une délicieuse confiture de tomates vertes. J’en ai fait l’an dernier, et c’est vraiment exquis avec de la viande froide, du pâté .. pour remplacer la confiture de figues ou d’oignons

Les ingrédients :

Il vous faut : 2kg de tomates vertes, bien fermes, 1,5 kg de sucre de canne, 1 citron bio et 1 pomme. Après un nettoyage soigneux des fruits découpez  les tomates en fines tranches et saupoudrez chaque couche de sucre, de lamelles de citron, et de dés de pommes. Vous pouvez aussi ajouter de la vanille si vous aimez . Faites macérer pendant une nuit. Ensuite, procédez comme pour une confiture normale, faites bouillir environ 20 min et mettez en pots. Moi, je retourne les pots pour une bonne conservation et je retourne après refroidissement complet. Bonne dégustation !!

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