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Archives for Biologiques: produits et lutte

Taupe ou mulot ? La lutte biologique au jardin ou au potager ?

La taupe ou le mulot ,

Si nous voulons lutter biologiquement ( ou même classiquement !) contre la taupe ou le mulot, il est très important de connaître leurs façons respectives de fonctionner. Quand nous  voulons lutter ou cohabiter pacifiquement avec un envahisseur, il faut d’abord le connaître !

Comment fonctionne la taupe.

La taupe est INSECTIVORE...ne l’accusez plus de dévorer les racines de vos arbres fruitiers, ou vos bulbes. Elle n’est pas coupable ! La taupe mange les vers de terre, les vers blancs, les hannetons, les cochenilles, les larves ..etc. Si vous avez une taupe chez vous ,c’est signe que votre terre est fertile et qu’elle présente une belle biodiversité en vers de  terre au moins . La taupe vit quasi tout le temps sous terre, et elle ne met presque pas le nez dehors.; car elle déteste la lumière et les courants d’air.  Cela veut dire que jamais une taupe ne laissera un trou de sortie vers l’extérieur. Seuls les mulots et les campagnols prévoient des « sorties  » pour leurs galeries .

Savez vous que la taupe est presqu’aveugle ? Par contre son odorat et son ouïe sont extrêmement développés. La taupe n’hiverne pas et est active toute l’année, car elle ne sait pas faire de réserve de graisse. Toutes ces caractéristiques vont nous aider à trouver des pistes pour l’éloigner du jardin .

La taupe est aussi un mammifère utile, car elle aère le sol à la manière d’une grelinette biologique…mais, je suis d’accord que dans la pelouse, c’est tout de suite moins sympa ! Car savez vous qu’une seule taupe peut aussi être responsable d’environ 40 taupinières ? Donc si vous avez « une invasion » de taupinières, il se peut qu’un seul ou deux individus soient responsables de l’ensemble des  dégâts.

Et le mulot ?

Sans entrer dans les détails, les mulots sont plus petits et les campagnols plus grands. Particulièrement le campagnol terrestre ( le fameux rat taupier) qui peut mesurer jusqu’à 22 cm; et qui avale jusqu’à son poids de racines par jour ! Tous ces mammifères sont des HERBIVORES VORACES. Ils s’attaquent aux légumes du potager, aux racines des jeunes arbres ou des jeunes haies, aux bulbes, aux fruits, aux plantes…rien ne les arrête ! Le mulot et le campagnol vivent sous terre mais aussi au dessus de la terre. Ils ont aussi un odorat puissant, et une bonne ouïe. Comme ils vivent aussi sur la terre, ils laissent des trous de sorties ,éloignés des taupinières.

Et les taupinières !

Ah ! Les taupinières ! Tous font des taupinières, car la terre des galeries doit bien être évacuée quelque part. Sachez que la terre de toutes ces taupinières, si vous voulez la récupérer, est excellente pour préparer les semis, car elle très légère et bien tamisée.

Les taupinières de l’un de l’autre sont un peu différentes, mais c’est un peu plus subtil. Par contre, si vous ouvrez une taupinière, et si vous découvrez un conduit qui descend à la verticale, (avant de se positionner à l’horizontale sous la terre), il s’agit sans aucun doute d’une taupe. Si le conduit part de biais, (avant de se positionner à l’horizontale sous la terre), il s’agit probablement d’un mulot. Attention ! Bien souvent, les taupes arrivent les premières, mais sont parfois chassées de leurs galeries par les mulots qui profitent du travail déjà réalisé. Il n’est donc pas rare d’avoir un « mélange » dans votre jardin. Les galeries des taupes sont plus profondes, car elles dépendent du niveau où les vers se trouvent . Par temps sec, les vers de terre et les limaces s’enfoncent dans le sol, et la taupe aussi. Comme la taupe a horreur de la lumière et des courants d’air, les taupinières ne sont jamais reliées à des trous. Si vous constatez des trous dans votre pelouse même plus loin que les taupinières, vous avez certainement à faire à des mulots/campagnols

Si vous vous enfoncez brutalement dans le sol dans une galerie en surface, il s’agit certainement d’un mulot ou d’un campagnol. Ces rongeurs herbivores restent souvent en surface, là où la nourriture se trouve : bulbes, racines ,légumes…pas besoin de creuser très profond  ( sauf si les mulots colonisent les galeries des taupes !). Comme le mulot/campagnol vit aussi à l’air libre, il laisse des trous dans la pelouse ou dans le potager, même éloignés des taupinières .

Tous ces indices doivent vous permettre de reconnaître mieux votre cible.

Comment lutter ou éloigner les taupes :

1.- la taupe a l’ouïe sensible

La taupe déteste les vibrations. Les vibrations de la tondeuse par exemple. En période de tonte, les taupes se font beaucoup plus discrètes; et c’est à partir de novembre, qu’elles reviennent. Et donc, les ultrasons fonctionnent bien pour éloigner les taupes. Je n’ai jamais testé le système qui propose de retourner une bouteille sur un long bambou…car pour que les vibrations s’enfoncent dans le sol, il faut que le sol ne soit ni compact ni desséché, que le bambou descende au moins à 1 mètre dans le sol, et que le vent souffle dans la bouteille pour provoquer des vibrations. Je trouve que c’est beaucoup de conditions pour le résultat ! A vous de voir !

2.- la taupe a l’odorat très développé

La taupe a un excellent odorat qui lui permet de se nourrir. Elle est donc très sensible aux odeurs. Quelques très bonnes pistes ! La décoction d’ail. Quelques gousses dans une bouteille d’eau, et au bout de 10 jours, l’odeur est …déplaisante ,-). En verser dans les taupinières est déjà efficace. La décoction de sureau est aussi très efficace; ainsi que les poils ou les excréments du chien. Ce sont des odeurs très répulsives pour les taupes.

3.-le piège

Je ne suis pas taupier professionnel ! Je ne peux donc vous donner que des pistes de base. Le piège tunnel est idéal, car la taupe pourra être déménagée pour vivre sa vie un peu plus loin ! Attention ! Comme son odorat est sensible, masquez votre odeur en utilisant de vieux gants de jardin. Vous avez bien compris que la galerie de la taupe part à la verticale sous la taupinière, puis démarre à l’horizontale de part et d’autre de la taupinière. L’important est de repérer la taupinière la plus récente; ensuite de repérer la galerie horizontale A COTE de la taupinière. Pour cela, vous pouvez sonder avec un fer tout autour de la taupinière. Quand le fer s’enfonce un peu et puis rencontre de nouveau une résistance, vous avez un point de départ, et vous laissez le fer en terre comme repère. Maintenant, il vous faut trouver la direction de la galerie en sondant avec un deuxième fer à environ 10 à 15cm du premier. Quand vous avez trouvé les 2 points, vous pouvez enlever la couche d’herbe au dessus (pour pouvoir la remettre après). Ensuite vous creusez pour trouver le morceau de conduit horizontal, et vous y déposez le piège. La taupe dérangée par la lumière et le courant d’air, viendra voir ce qui se passe pour reboucher la galerie endommagée. ¨Parfois, simplement le fait de détruire régulièrement les taupinières va éloigner la taupe qui déteste les courants d’air et la lumière.

4.- les prédateurs naturels

Pas facile ! Car la taupe vit principalement sous la terre. La belette et l’hermine, si vous avez la chance d’en avoir encore, sont deux animaux qui entrent dans les terriers. Mais les rapaces, les chouettes et les chats sont peu efficaces, car la taupe sort très peu de terre.

Lutter contre les mulots…pas facile

1.- les prédateurs

Les mulots et les campagnols suivant la variété vivent aussi au dessus de la terre. Ils sont donc une proie facile pour les rapaces, les chouettes, les chats, les pies, les corbeaux. Pour favoriser l’arrivée de ces prédateurs, n’oubliez pas les haies ,qui par leurs racines profondes, peuvent aussi  limiter l’accès souterrain à votre jardin.

2.- les répulsifs

Les répulsifs que je vous ai proposés pour les taupes fonctionnent très bien ! En plus, c’est hyper facile de verser quelque chose dans les trous ( plus que pour les taupes) . L’ail est très efficace, et les poils/excréments de chien aussi !

3.- les pièges

Pas facile de piéger les mulots ! Son odorat est terrible, et il repère votre odeur sur le piège ou l’appât. Repérez les galeries avec une sonde comme pour les taupes et positionnez le piège tunnel convient pour les mulots, mais pas pour les campagnols qui sont plus gros) de la même façon, éventuellement en appâtant avec un morceau de légumes. Et comme il adore l’odeur du gras ( huile végétale même usée !), vous pouvez arroser un peu l’appât. Cette odeur va attirer le mulot ,et masquer l’odeur humaine.

4.- détruire les galeries

Si les galeries sont en surface ( souvent au potager), n’oubliez pas de détruire les galeries en automne, avec une grelinette. Ils se découragent et vont plus loin.

5.- les pièges à ultra sons

Les mulots/campagnols ont une ouïe redoutable, et sont sensibles aux ultrasons. Attention de bien utiliser la fréquence à laquelle ils sont sensibles.

 

Un piégeur professionnel

Si vous n’en sortez pas et que l’invasion est trop forte, vous pouvez faire appel à un taupier ou piégeur professionnel. Ils sont redoutables pour capturer vos envahisseurs.

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La pyrale du buis : questions/réponses

Tous droits de reproduction interdits (c) Jardiflor sprl

Faut-il traiter maintenant ?

Oui, oui, oui. Il faut traiter dès que vous voyez que les chenilles sont là. Que ce soit en septembre/octobre ou au printemps quand la température se réchauffe ( mars/avril),  vous devez traiter sans attendre. De toute façon quand il fait froid (hiver ou début du printemps) , il n’y a ni chenilles ni papillons : ils hibernent dans la terre. Mais dès que la température est au dessus d’environ 14°c, les chenilles et les papillons se mettent en route. Et par ailleurs, les pulvérisations ou arrosages sont efficaces dès 14°c environ.

Faut-il tailler quand le buis reverdit ?

Il me semble que je laisserais le buis se refaire une santé…car ce sont les feuilles qui lui permettent d’absorber les nutriments. La taille n’est vraiment pas urgente après une telle invasion ! Il vaut mieux leur mettre de l’engrais…et PATIENCE !

Pourquoi est ce que les buis deviennent bruns en 2 jours ?

En fait la pyrale est probablement là depuis le début de la saison. Vous ne voyez pas le papillon (d’où l’intérêt des pièges à phéromones en début de saison voir le premier article ). Il s’installe progressivement, pond ses oeufs..et donc les premières chenilles apparaissent. Et le cycle infernal démarre ! Mais tant que cela se passe à l’intérieur du buis, vous ne voyez rien. Quand il n’y a plus rien à manger à l’intérieur du buis et que les chenilles deviennent trop  nombreuses; elles sortent à l’extérieur….Au moment où les buis deviennent bruns l’invasion est à son maximum.

Est ce que ça marche un nettoyage au karcher ?

Bien sûr que ça marche ! Vous allez éliminer un maximum de chenilles, d’œufs mais probablement pas tous les papillons ni toutes les chenilles ni tous les œufs. Mais, en cas de forte invasion ,vous allez devoir le faire plusieurs fois et souvent. Donc si vous n’avez qu’un seul buis à traiter, vous pourrez le faire le nombre de fois que vous voulez. Mais,  si vous avez bien compris le principe, il suffit qu’il reste un papillon pour que le cycle recommence (voir le premier article) . D’où parfois la nécessité d’un traitement avec le produit Conserve/Bacillus Thuringiensis qui tue les chenilles ….D’où l’intérêt du traitement homéopathique qui modifie « l’environnement de la plante » ( sol, racines, branches, feuilles)…cela va permettre une certaine protection des buis. Bien sûr, il faudra surveiller chaque année , principalement en début de saison.

Est ce qu’on peut utiliser du vinaigre ?

Non non et non. Le vinaigre ne traite pas les insectes, uniquement pour les mauvaises herbes…et encore !  Horrible rémanence dans le sol…

Et le savon noir ?

Le savon noir est efficace sur les pucerons…mais pas vraiment sur les chenilles. Et dans le cas de cette grosse invasion, je pense personnellement que c’est insuffisant. Je vous conseille d’utiliser le Conserve ou le Bacille thurigiensis  qui sont des produits spécifiques contre les chenilles ( voir les autres questions concernant la biodiversité, et les inconvénients de ces produits), et surtout l’homéopathie.

Est ce qu’on peut faire le traitement homéopathique n’importe quand ?

En général, je conseille un traitement avec Psorinum 30K  ou Cydalima en début de saison, surtout si vous détectez les premiers papillons avec les pièges à phéromones (voir le premier article) . En cas d’invasion, je conseille de faire éventuellement 2 traitements espacés d’environ 1 mois à 6 semaines. Mais surtout ne traitez pas régulièrement, sinon vous aurez un effet inverse, et vous allez attirer la pyrale au lieu de la repousser.

Par ailleurs, il ne sert à rien de faire un traitement quand les  températures en journée descendent en dessous des 12° ou bien en hiver. Les plantes sont au repos, et n’absorbe plus beaucoup….mais ça, c’est valable pour tous les traitements.

Est ce que c’est mieux le Psorinum ou la Cydalima ?

Les deux sont bons, et agissent par des moyens différents. Le Psorinum modifie l’environnement du buis notamment du sol, et c’est pour cela qu’il faut arroser copieusement le pied du buis. Le Cydalima fonctionne plus comme un « répulsif », même si cela n’a rien à voir avec un répulsif allopathique. Je vous ai conseillé le Psorinum 30 K parce qu’il est disponible tout de suite en pharmacie!

Mes buis sont bruns. Est ce que je dois les couper ?

Non, non, non ! Surtout pas ! Les chenilles ne mangent que les feuilles ! Elles ne mangent ni les branches ni les racines. Seulement le buis s’épuise à refaire des nouvelles feuilles, si elles sont mangées au fur et à mesure par les chenilles. D’où l’intérêt de l’homéopathie !  Dès que le problème est traité, les feuilles vont repousser….mais il faut de la patience, remettre de l’engrais organique à vos buis, et surtout arroser en cas de sécheresse importante. C’est pour cela que l’homéopathie apporte aussi de l’aide, car les chenilles, si il en reste, ne vont pas manger le nouveau feuillage qui repousse….même tout petit. PATIENCE !

Comment voir si c’est la pyrale ou la maladie ?

Regardez bien les photos ! Avec les chenilles de la pyrale, les feuilles sont rongées, ne sont plus entières. Il y a des excrément sous forme de petites micro billes vertes (ou noires) dans tout le buis. Vous pouvez aussi découvrir des toiles ou des cocons ou des feuilles de buis qui sont « collées » ensemble ( c’est un cocon).

Dans le cas de la maladie, les feuilles brunissent point barre ! Les feuilles sont entières, pas de cocons, pas de microbilles..

Cependant soyez attentifs ! Car bien souvent la maladie se développe sur des buis affaiblis ! Pour la maladie, je n’ai pas de traitement homéopathique complètement efficace. Il faut traiter 1 x par an en début de saison avec une pulvérisation de produit ciblé sur la maladie du buis ( il en existe plusieurs !)

Arroser au pied ou sur le buis ?

Quand on parle d‘arrosage , c’est toujours au pied. Quand on parle de pulvérisation , c’est sur le feuillage. Dans le cas d’une pulvérisation sur les buis, n’oubliez pas d’entrer la buse du pulvérisateur à l’intérieur du buis, et de bien pulvériser l’intérieur du buis ou de la haie, puisque c’est toujours par l’intérieur que l’invasion démarre.

C’est quoi l’homéopathie ?

L’homéopathie utilise des substances naturelles qui sont diluées dans des teintures de nombreuses fois (voir aussi le premier article ). L’homéopathie utilise plusieurs manières pour « soigner » et « guérir ». Soit elle choisit de renforcer la plante en utilisant des substances de renforcement ( ici le Psorinum). Soit elle choisit de s’attaquer aux symptômes : par ex. dans le cas de la maladie la rouille , elle choisira substance suivant les symptômes provoqués (brûlure, dessèchement, rougeur, tâches brunes..etc..). Soit elle utilise la substance même du ravageurs ( ici le Cydalima perspectalis).

Il y a donc de nombreuses substances possibles à utiliser au jardin et au potager. C’est pour cela que j’ai créé les modules Potager sur la lutte contre les ravageurs, sur les tomates …etc.

Que faire l’an prochain ?

Vous avez bien compris que fin de saison, certaines larves vont se laisser tomber dans le sol pour hiverner  (voir aussi le premier article ). Fin mars/ début avril, elles vont remonter sur les buis et recommencer leur cycle de vie. C’est la raison pour laquelle je conseille de mettre un piège à phéromone ( ou plusieurs suivant surface) pour détecter le début d’une invasion éventuelle. Et ensuite faire directement un traitement homéopathique. Mais si vous avez été vraiment envahi, vous pourrez directement traiter, car il y aura certainement une chenille qui aura hiverné dans le sol, et recommencera le cycle !

Et les oiseaux, les abeilles ??

L’homéopathie n’affecte absolument pas la biodiversité ! Depuis que j’utilise l’homéopathie au potager, les légumes, les fleurs, les arbustes sont  remplis d’insectes ….que je ne connaissais même pas ! Et les larves de ces insectes, souvent bien utiles, régulent les populations de pucerons, de cochenilles, d’aleurodes, des œufs et larves de certains ravageurs !

Les oiseaux aussi sortent grands gagnants avec l’homéopathie. C’est la raison pour laquelle j’emploie l’homéopathie en combinaison avec les huiles essentielles  dans mon module Potager sur la lutte contre les ravageurs, mais aussi dans mon module sur les Tomates !

Je vous ai parlé de l’utilisation du Conserve ou du Bacille Thurigiensis ( voir aussi le premier article ) parce que c’est un des rares produits qui s’attaquent aux chenilles compatibles avec l’agriculture biologique. MAIS ( oui, il y a un mais!) le produit va également tuer les larves et œufs de tous les insectes sans faire de différence. C’est la raison pour laquelle je ne l’emploie qu’en cas de forte invasion de la pyrale, et uniquement dans ce cas !

Et le bacille thuringiensis ?

C’est un fonctionnement tout à fait similaire au Conserve qui est aussi agréé en agriculture biologique. Il ne s’attaque qu’aux chenilles et aux larves. MAIS ( comme le Conserve) il tue toutes les larves de tous les insectes y compris larves de coccinelle, de chrysope et de syrphes qui sont des insectes très utiles par exemple dans la lutte contre les pucerons. Comme le Conserve, je conseille de l’utiliser uniquement en cas de grosse infestation. Et la raison pour laquelle j’ai parlé plus du Conserve, c’est que le Bacille Thuringiensis a été retiré de la vente en Belgique….pas parce que c’est un produit nocif ( que nenni !), mais parce que comme son utilisation est peu connue, le débouché commercial n’est pas suffisant. Et les firmes qui le produisaient ne voulaient plus payer les autorisations de mise sur le marché ! Mais vous pouvez cependant le trouver sur internet.

Peut on utiliser les 2 produits homéopathiques ?

Oui bien sûr. Mais ne les utilisez pas en même temps. Comme ils sont « ciblés » différemment, préférez  une utilisation de chaque produit bien espacée d’au moins 1 mois. Cela vous permet de « garder des bonnes cartouches  » si vos buis sont recontaminés par les buis du voisin.

Et les décoctions d’ail ??

Les décoctions sont aussi très intéressantes. MAIS sachez que les décoctions ne tuent jamais les chenilles et ne font que les repousser. Vous pouvez  bien sûr utiliser la décoction d’ail, de tanaisie, de sureau ,de rhubarbe. Cela va avoir un effet répulsif sur les chenilles mais absolument pas sur les œufs. Il faudra donc les utiliser plusieurs fois. C’est la raison pour laquelle je pense que leur utilisation n’est pas suffisante dans le cas d’une très forte infestation ! Par contre les décoctions vont rendre peut être être utiles en tout début de saison, pour repousser une première génération de chenilles. Mais, je pense qu’ elles ne seront pas suffisantes à elles seules pour éradiquer la pyrale…….  mais il est vrai qu’elles rendent vraiment de précieux services dans la lutte contre les  ravageurs, en permettant une gestion plus facile au potager !

Faut il ramasser les feuilles brunes du buis ?

Non, pas besoin.  C’est juste des feuilles mortes qui sont inintéressantes pour les chenilles comme pour les papillons !  Il n’y a plus rien à manger ! Ce n’est pas comme pour une maladie, dont les spores pourraient contaminer les autres buis. Alors, oui ! Il y a probablement des œufs dedans…mais il y en a aussi dans le sol, peut être encore dans le creux des branches….C’est pourquoi j’utilise l’homéopathie pour modifier « l’environnement » du buis.

Pulvériser avec un pulvérisateur ou un atomiseur?

D’abord il faut bien savoir que la plupart des produits vendus  en jardinerie (biologiques ou pas) contre les insectes sont des produits qui agissent par contact. Les produits dits « systémiques », c’est à dire qui entrent par le feuillage et circulent dans la saison sont de plus en plus retirés des ventes , car leur rémanence est beaucoup plus longue et provoque des dégâts pour la biodiversité. Et qui dit produit de contact, dit bien mouiller tout le feuillage ( et pour un buis surtout tout l’intérieur! ) . Je pense donc que le pulvérisateur va mieux « mouiller » les feuillages et être plus performant ! Un atomiseur diffuse en général une petite bruine, et convient peut être mieux pour les maladies.

 

NOUVEAU ! Découvrez ici mon accompagnement « Mon Année au potager » avec un vrai suivi personnalisé pendant 1 an ! Par internet, je vous propose des modules de formation Potager qui ont l’avantage de prendre le temps d’aborder le sujet dans son ensemble. Ensuite, par internet, je peux vous montrer des vidéos et des photos quelle que soit la saison ! Cela vous permet de visualiser réellement l’ensemble du sujet traité ! Actuellement, 6 modules disponibles . Module 1 : La lutte biologique contre les ravageurs.  Module 2 : Le plan du potager Module 3 : Tout savoir sur la culture de la tomate.

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Les choux et les chenilles !

Mais d’où viennent toutes ces chenilles ?

Toutes ces chenilles que vous voyez peut être dans vos choux viennent des œufs pondus par la piéride du chou. Et la piéride du chou, c’est ce joli papillon blanc que l’on voit voler tout l’été dans nos jardins. Pourquoi s’appelle t-il la piéride du chou ? Et bien parce qu’il adore l’odeur des choux !!

Comment s’en sortir ?

Et bien puisque le papillon aime l’odeur des choux, le truc , c’est de brouiller les pistes. En fait, la piéride du chou repère vos cultures uniquement à l’odeur pour venir pondre ses œufs sous une feuille de chou. Ensuite, les œufs deviennent des chenilles voraces qui font de vos choux de la dentelle de Bruxelles. Pour brouiller les pistes, vous pouvez simplement déposer sur vos choux les gourmands de tomates que vous avez taillés ou bien les tailles de vos lavandes ou des branches de romarin….en fait tout ce qui a une autre odeur que le chou !

Ne pas mettre d’insecticide

Je vous déconseille d’utiliser un insecticide même biologique. Car qui dit insecticide ( bio ou pas ) , dit substance qui tue les insectes, tous les insectes même utiles. Même si la substance en question est plus respectueuse de l’environnement , vous allez quand même tuer tous les insectes. Or les coccinelles et les chrysopes par exemple aiment dévorer les œufs du papillon. En pulvérisant un insecticide, vous vous privez d’alliés de taille ( même si ils sont petits)

L’huile essentielle de menthe poivrée

Vous pouvez aussi par exemple utiliser l’huile essentielle de menthe poivrée. 20 gouttes  que vous diluez dans 1 cuillère à soupe de savon noir puis dans 1 litre d’eau ! C’est aussi l’odeur qui détournera le papillon.

Vous avez besoin d’aide ?

Si vous cherchez de l’aide pour apprendre à lutter biologiquement contre les ravageurs au potager,  découvrez ici mon module formation Potager  » La lutte biologique contre les ravageurs » . Je vous explique le fonctionnement des ravageurs, la façon de les éloigner du potager, les moyens de lutte ( et ils sont nombreux ! ). C’est en  connaissant mieux le ravageur et en associant plusieurs moyens de lutte que j’arrive à cohabiter pacifiquement avec les insectes dans mon potager ! Et ça, c’est aussi une façon de favoriser la biodiversité, et de ramener un équilibre dans les cultures au potager !

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La culture de la rhubarbe

Rhubarbe facile !

La rhubarbe est une plante facile au jardin. Elle aime une terre bien grasse et du soleil ( ou la mi ombre mais pas de trop !). Elle est vivace et résiste même aux hivers rudes ou humides. Franchement, c’est une « sans-souci ».

Sa culture

Elle aime une terre bien riche et même lourde. A la plantation, tu peux lui fournir un bon lot de terreau pour stimuler et encourager son enracinement. Ensuite, elle s’installe assez rapidement. Elle aime que tu lui apportes un peu de compost bien mûr, ou encore mieux un  peu de fumier bien décomposé chaque année. Surtout si tu es un gros consommateur et que tu coupes de nombreux bâtons.

Un petit conseil ! Laisse lui toujours un peu de bâtons, et ne coupe pas tout. La plante a besoin de garder des branches et des feuilles pour se renourrir d’une année à l’autre !

Et les feuilles??

Attention ! Les feuilles de rhubarbe ne sont pas comestibles. Pas question de faire un pesto comme avec les feuilles de radis ou un potage comme avec les feuilles de carottes ! Par contre, elles peuvent te rendre quelques bons services en paillage ou en décoction.

Le paillage

Je me sers toujours de feuilles de rhubarbe pour pailler….le pied de la rhubarbe et le tour . Ce faisant , je garde une bonne humidité les années sèches qui profite à… la rhubarbe. Et je limite aussi l’invasion des mauvaises herbes lorsque la plante est dégarnie par ma cueillette. C’est un paillage qui ne dure pas longtemps et se dégrade vite…mais cela m’aide à la période de cueillette. Tu peux aussi utiliser les feuilles de rhubarbe pour pailler le potager ou le jardin.

La  décoction

L’utilisation en décoction est principalement basée sur l‘odeur  des feuilles qui est répulsive. Son usage au potager permet d’éloigner certains ravageurs. Découvre ici mon module potager n°1 consacré à tous les moyens de lutte biologique contre les ravageurs.

Recette : 200 gr feuilles pour 1 litre d’ eau. Macérer pendant 72 h ou plonger les feuilles dans de l’eau bouillante, macérer 24 h. A pulvériser sur les plantes Ajouter 1 c à soupe d’huile d’olive ou savon de vaisselle bio pour mouillant. 

Et en cuisine ???

Découvre ici ma recette de ma tarte de paresseuse à la rhubarbe ! 

Découvre aussi pourquoi j’utilise la rhubarbe dans ma recette de confiture de fraises.

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Le Basilic du Kenya, plus résistant au froid !

Enfin un basilic qui se cultive en pleine terre !

Vous avez tous eu l’expérience de ces basilics avec des belles grandes feuilles qui dépérissent dès que la température fraichit…même un tout petit peu ! Tous ces basilics avec des longues et belles feuilles bien vertes ont besoin d’un abri ou d’une serre pour survivre chez nous. Alors que mon petit basilic avec des feuilles beaucoup plus petites, résiste pendant tout l’été, mais aussi une grand partie de l’arrière saison..et ça, j’adore !

Un nom épouvantable à retenir !

Oncimum kilimandscharicum.…un nom épouvantable à retenir !! Parfois on l’appelle, le basilic du Kenya...c’est un peu plus facile! Il se multiplie par bouture, et parfois dans les jardineries, on l’appelle aussi le » basilic par bouture «  . Mais si son nom est très compliqué, au moins, il est très très facile à vivre !

Une superbe plante fleurie..

Il forme un petit buisson de 50 à 80 cm de haut, et fleurit de juin à octobre tant qu’il ne gèle pas ! Ses feuilles sont petites, vert très foncé avec des reflets pourpres. Ses tiges sont pourpres. Ses fleurs sont roses, mauves ou bleu violet suivant les variétés! Mais quoi qu’il en soit, les fleurs sont comestibles, et les feuilles font un délicieux pesto…aussi parfumé que les autres.

Mellifère !

C’est un de mes meilleurs atouts au potager ! Car il attire nombre d’insectes utiles : chrysope, abeilles, syrphes, coccinelles…..tous sont attirés par ses fleurs et son parfum. Et grâce à lui, je fais provision d’insectes utiles dans ma lutte biologique contre les pucerons….les doryphores…..les chenilles..etc…

Facile à bouturer

Les boutures que je réalise au mois d’aout ou en automne, sont vraiment faciles à faire…et chaque année, je peux encore profiter de ses atouts dans mon potager !

Grâce à lui et les insectes qu’il attire, je suis assurée d’une pollinisation sans faille au potager et dans mes arbres fruitiers aux alentours ! Que demander de mieux ,-)

 

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Atelier Potager : samedi 11 mars  » Cultures et semis en mars/avril + les fleurs au potager « 

Vous avez les doigts qui démangent ? Moi, aussi !

  • vous pensez qu’il n’y a rien à faire au potager pour le moment ?
  • vous ne savez pas ce que l’on peut cultiver en mars/avril ?
  • vous n’avez jamais fait de semis ?
  • vous ne voyez pas l’intérêt de mettre des fleurs au potager ?
  • vous cherchez de l’aide pour démarrer votre potager cette année ?

Rejoins nous le samedi 11 mars de 14h00 à 16h00

Nous allons démarrer ensemble notre année au potager, découvrir les cultures qui sont déjà possibles, apprendre à faire des semis, découvrir des fleurs bien utiles au potager…bref, nous serons des jardiniers bien occupés ! Pour ne rien oublier, tu reçois un carnet de bord avec toutes les infos de cet atelier, que tu peux compléter avec tes notes !

Objectifs de l’atelier :

  • parler des légumes de saison (mars/avril)
  • comprendre la période de culture, ses avantages et ses inconvénients
  • apprendre à faire un  semis
  • apprendre à organiser la succession des semis
  • découvrir les fleurs au potager

Quand ? Où ? Combien ?

Quand ? = le samedi 11 mars de 14h00 à 16h00

Où ? =  rue de Grusone 21 A, à 6900 Roy (Marche en Famenne) à 4 ‘min de la N4 sortie Charneux. Entrée par la grande grille noire

Combien ? 38,00€. Prévoir une tenue d’extérieur (bottes/manteau) adaptée à la météo pour visualiser le potager  ! Prendre bics, crayons, pour prendre des notes  si tu souhaites compléter ton carnet de bord.

Inscription

Inscris toi au plus vite par mail à info@jardiflore.be . Mentionne tes nom, prénom, et numéro de téléphone. Attention ! Le nombre de places est limité. Le montant de 38,00€ est à verser sur le compte de Jardiflore BE25 1940 1520 8182, sans oublier de mentionner nom, prénom et atelier potager sam 11 mars.

Un moment convivial et créatif !

Je me réjouis de partager avec toi ce moment convivial et créatif..dans un vrai potager ! Même si nous sommes en début de saison, je prévois toujours un petit tour au potager….nous profiterons aussi pour prendre l’air !  ( prévoir des bottes et vêtements adaptés à la météo)

Autres dates pour l’atelier potager

Samedi 11 février de 14h00 à 16h00 : Comment réaliser le plan de son potager.

Samedi 18 mars de 9h30 à 11h30 : Lutter contre les ravageurs au potager : principes, trucs et exemples ( limace, puceron, doryphore)

Samedi 15 avril de 14h00 à 16h00 : Les tomates : culture , taille, conseils et échanges

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Atelier potager samedi 18 mars : Lutte biologique contre les ravageurs au potager

🌿 Je ne veux pas utiliser de produits chimiques

🌿Je n’en sors pas avec les pucerons, les chenilles et toutes ces bestioles

🌿Je voudrais des trucs concrets  et qui marchent !

🌿J’en ai marre de ces trucs complètement idiots qui ne servent à rien !

Alors l’atelier du samedi 18 mars est pour toi !

Les objectifs de l’Atelier :

Je voudrais  partager avec toi toute mon expérience au potager, pour améliorer ton autonomie en légumes bio !

Tous ensemble nous allons :

🥕 découvrir le fonctionnement des ravageurs et des insectes

🥕parler des trucs de base au moment de la plantation

🥕découvrir les fonctionnement de l’homéopathie, des huiles essentielles, des purins au jardin

🥕étudier plus particulièrement la limace, le doryphore, la piéride du chou et le puceron

Rendez vous le samedi 18 mars de 9h30 à 12h00

 : 21 A, rue de Grusone à 6900 Roy ( Marche en Famenne) à 5 min de la N4

QUAND : samedi 18 mars de 9h30 à 12h00

COMMENT : pour un prix de 38,00€, tu reçois un carnet de bord avec les différents éléments abordés lors de l’atelier . Prévois de quoi prendre des notes si tu veux. Nous irons si possible faire un tour au potager…prévois une paire de bottes et un vêtement de pluie. 

Les autres ateliers potager

samedi 11 février : Préparer le plan de son potager !

Samedi 11 mars : Mars/avril premières cultures, semis intérieur et extérieur, fleurs utiles

Samedi 15 avril : Atelier tomates : plantation, culture, taille, prévention mildiou

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Trucs et astuces : Les engrais verts

C’est quoi un engrais vert ?

Un engrais vert , c’est une plante que l’on sème, après la culture en automne , ou avant la culture au printemps, pour enrichir le sol. Leur propriété principale est  de fixer l’azote dans le sol par leur racines. Mais, l’engrais vert a aussi de multiples avantages. Avant la nouvelle culture, on fauche l’engrais vert  ou on le broie; et ensuite on l’incorpore dans le sol.

Les avantages ? Ils sont nombreux!

Pour entretenir la terre du potager, rien de tel que d’essayer de couvrir la terre en permanence ; car une terre nue est soumise aux intempéries. Les pluies denses vont lessiver le sol, et entraîner les nutriments par le ruissellement. Cela appauvrit le potager. Le soleil, quant à lui, désèche la terre et forme une croûte qui empêche l’eau d’entrer. La terre nue est aussi livrée à l’invasion des adventices (mauvaises herbes). Profitez donc  qu’une planche de culture se libère, et couvrez le sol avec un engrais vert. La plante va pousser, couvrir le sol, et l’enrichir par ses racines qui fixent les nutriments ou en apportent de nouveaux dans votre sol.  Vous nourrirez ainsi le sol pour la prochaine culture.

Que choisir ,

Essayez de varier vos engrais en fonction de vos cultures…si vous avez mis des choux à cet emplacement cette année, préférez un engrais qui ne soit pas de la famille des crucifères (choux,radis, navet), plutôt la phacelie, le trèfle….Après des pommes de terre, rien de tel qu’un bon semis de moutarde qui recouvrira le sol et l’enrichira pour l’an prochain.

Les différents engrais verts

Le trèfle incarnat est aussi une variété intéressante et se sème généralement après les cultures d’été. Préférez le au trèfle blancs; car le trèfle blanc est vivace, et il a tendance à s’installer un peu trop bien!  Il fixe l’azote de l’air au niveau de ses racines, et son système radiculaire décompacte le sol. Il sera fauché en Mars/Avril et une culture de printemps pourra suivre.Il a l’avantage de ne pas être une variété vivace contrairement aux autres trèfles. Ainsi une fois coupé à ras terre il ne repoussera pas (ou très peu).

Le sarrazin, lui , ne peut pas être utilisé comme engrais vert en hiver, car il craint le gel. Il nourrit le sol en azote et phosphore. Son pouvoir couvrant est excellent, et il supporte une terre un peu acide.

Le seigle a un système racinaire très dense et profond. Il est résistant au froid et aux gelées et supporte les terres pauvres. Il peut se semer tardivement, jusqu’en Octobre/Novembre. Les céréales sont souvent associées avec une légumineuse, pour combiner plusieurs avantages .Les céréales aèrent et le sol en profondeur avec leur système racinaire puissant; alors que les légumineuses structurent le sol en surface. L’utilisation de plusieurs espèces concurrence mieux les mauvaises herbes.

La moutarde fixe l’azote dans ses racines, et lors de l’enfouissement, enrichit considérablement le sol. Elle peut se semer avant l’hiver ou au printemps, de mars à octobre, car elle résiste au gel. De la famille des crucifères, comme les choux, il vaut mieux mieux ne pas la semer à des emplacements où vous avez cultivé vos choux, radis, navet.. Préférez lui un autre engrais qui apportera des nutriments différents.

La phacélie est une petite merveille quand elle fleurit ! Elle se couvre de fleurs bleues qui sont un bonheur pour les insectes et attirent les pollinisateurs. De croissance rapide, elle renouvelle les éléments nutritifs du sol, et augmente la flore microbienne du sol. Elle se sème en septembre ou octobre ou au début du printemps en avril dès que le sol est un peu réchauffé. Son pouvoir de recouvrement est très bon, et elle limite la propagation des mauvaises herbes.

 

N’hésitez à mélanger les engrais, et à couvrir les petites surfaces au fur et à mesure qu’elles se libèrent.

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Nouveauté ! La box atelier d’art floral à emporter

La box atelier à découvrir

Vous n’avez pas le temps?? Vos horaires sont trop compliqués?? Vous n’avez pas envie de venir sur place ??  La box atelier est pour vous ! Pour tous ceux qui ne savent pas ou ne veulent pas participer physiquement à l’atelier d’art floral, nous lançons la box à emporter…pour réaliser l’atelier chez soi.

Tout est dans la boîte !

Dans le pack atelier, vous trouverez tout ce qui est nécessaire à la réalisation du montage..Bien sûr, vous recevrez les fleurs et la verdure !! Bien sûr, vous aurez la base de montage !! Mais pas que cela!! Vous trouverez dans le pack  tous les petits accessoires ou éléments techniques qu’il vous faut : par ex..autocollant double face, petit clou, feutrine pré-découpée, épingles, baguettes, osier..etc…

Une vidéo tuto

Vous recevrez aussi un lien privé pour visionner une vidéo qui reprend pas à pas toutes les étapes du montage. Vous aurez ainsi tous les petits trucs et astuces pour réaliser le montage proposé.. comme lors de notre atelier réel ,-)-)

Une fiche technique pas à pas…

Je vous ai concocté aussi des fiches techniques. Etape par étape, vous aurez les instructions pour réaliser le montage. La fiche est aussi illustrée par quelques photos, pour que vous puissiez voir les étapes de réalisation. Quand vous viendrez chercher la box au magasin, vous aurez la possibilité de voir le montage « en vrai ». Vous pourrez ainsi visualiser mieux le résultat à obtenir, lors des différentes étapes de réalisation. Nous répondrons aussi à vos questions lors de votre passage, et nous vous guiderons déjà pour réaliser votre montage.

Quand?? Où?? Combien??

Le prix dépend de l’atelier que vous choisissez. ,Vous recevrez le pack atelier complet (fleurs, verdure, accessoires, matériel)+ lien vidéo + fiche technique . Les packs sont à emporter chez Jardiflore, rue Antiémont 85 à 6900 On( Marche en Famenne). Réservez votre box et puis vous pouvez passer au magasin , et puis vous pourrez voir en vrai le montage…

 

 

Découvrez ici l’atelier du samedi 19 septembre et celui du mardi 15 septembre.

Découvrez ici la box du mardi 6 octobre et celui de samedi 10 octobre.

Découvrez ici la box  « Lumière de Novembre  »

Découvrez ici la box « Noel Rouge », et la box « Un sapin de Noël en or »

 

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La limace, terreur du potager !

Les limaces sont un vrai fléau au jardin ; et les jardiniers ne savent souvent plus à quel saint se vouer pour lutter contre elles. Et Vous connaissez tous les grosses limaces brunes, mais il existe aussi de toutes petites limaces noires qui ne sortent que la nuit. Ce sont souvent elles les responsables de la disparition en une nuit de vos courgettes !!!  Les clients me disent … » je ne vois aucune limace… qu’est ce que c’est ???

 

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